Géobiologie

Géobiologie et santé

Le terme Géobiologie vient de 3 termes grecs : Géo (Terre) – Bio (Vie) – Logos (parole/expression).

La géobiologie est la science qui étudie l’influence d’un lieu sur le vivant (hommes, animaux, végétaux), sur sa santé et sur sa vitalité. Il existe donc un lien étroit entre la géobiologie et la santé. Hippocrate, le père de la médecine moderne, écrit en 430 avant J-C : « Celui qui veut se perfectionner dans l’art de guérir considèrera comment l’endroit est disposé et s’informera du sous-sol, concurremment avec la constitution des êtres vivants. » (Traité des Airs, des Eaux et des Lieux).

La Géobiologie observe les rayonnements qui arrivent sur la planète

le rayonnement cosmique et le rayonnement tellurique. L’interaction entre ces champs électromagnétiques et solaires créent parfois des ondes dites « nocives » ou énergies « agressives » émanant du sous-sol. Aux yeux du praticien en Géobiologie, la terre est vivante et imprégnée d’énergies.

Le praticien « s’ancre dans l’âme de la terre » pour sentir ces flux d’énergies qui la traversent et identifier les phénomènes naturels présents sur un lieu.

Certains d’entre eux génèrent des influences négatives qui affectent la vitalité des personnes présentes sur le lieu ; d’autres au contraire sont des sources d’énergies qui alimentent positivement les êtres à proximité.

Les ondes dites nocives, non perceptibles par les sens ordinaires en l’absence de signe extérieur, ont une action très nette sur la santé, la vitalité, le comportement, l’humeur, la chance, la destinée des hommes. Les lieux porteurs de rayonnements nocifs nous rendent plus perméables, plus vulnérables à la maladie en affaiblissant nos défenses immunitaires.

Nos cellules sont agressées de façon sournoise et surtout continue; ce n’est pas tant l’intensité des perturbations qui agit sur notre métabolisme que la durée d’exposition à ces perturbations.

Cette discipline relève d’un savoir ancien

Pour disposer d’eau à proximité de leurs habitations, nos ancêtres appelaient le sourcier (ou rahbdomancien) avant de faire creuser un puits .

Les Amérindiens observaient le comportement de leurs animaux avant d’installer leur campement et si leurs chevaux montraient des signes de nervosité, l’emplacement n’était pas retenu.

En Feng-Shui, on part à la recherche des « veines du dragon » pour évoquer les courants telluriques (le Feng-Shui étant une science chinoise datant de 3000 avant JC).

Nos bâtisseurs de Cathédrales choisissaient eux aussi des lieux bien spécifiques en tenant compte des énergies cosmo telluriques.